« Les routiers sont sympas » disaient les ondes radio au siècle dernier (de 1972 à 1983), par la voix de Max Meynier, animateur chez RTL. Oui, le routier, ou conducteur routier, est sympa qui, de nuit comme de jour sur la route, au volant de son véhicule (poids lourd, semi-remorque, camionnette, utilitaire…), transporte toutes sortes de marchandises.
L’activité du conducteur routier ou de la conductrice routière varie selon le type de véhicule (petit ou moyen tonnage, ou plus gros gabarit), la nature du fret et les distances à parcourir. Le grand routier ou conducteur / conductrice « longue distance » roule en France et à l’étranger. Le conducteur ou la conductrice « courte distance » se déplace en région, tandis que le livreur ou conducteur « messager », ou conductrice « messagère », effectue des trajets courts, notamment en ville.
Dans le cadre de sa mission, il ou elle doit :
Ce métier, qui expose sans cesse aux dangers de la route, demande des capacités hors pair de concentration, d’attention et de réactivité, une bonne résistance au stress. Il nécessite une bonne condition physique pour résister à la fatigue de la conduite des heures durant. Il requiert aussi une acuité visuelle et auditive, et l’absence d’antécédents cardiaques.
Pour l’exercer, il faut savoir résoudre des problèmes en cas d’accident ou d’imprévu, savoir organiser et gérer son temps, s’adapter aux circonstances.
Le conducteur routier ou la conductrice routière représentant son employeur, il ou elle doit également rester courtois·e et agréable, faire preuve d’un comportement irréprochable, au volant et avec les clients.
Parler une langue étrangère est un atout pour circuler à l’étranger. Et posséder des notions de mécanique, utile pour effectuer des vérifications et réparations de base sur son véhicule.
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